Le traitement à la lumière LED est une des techniques régénératives.
Tout ce qui vie répond à la trilogie: information, énergie et matière. Dans la rubrique «biostimulation aux cellules autologues», nous avons vu comment activer les processus d’auto-réparation ou d’auto-regénération en n’utilisant que les cellules du patient.
Je pense aux extraits plaquettaires qui agissent comme molécules signalétiques capables de réveiller les cellules souches qui sommeillent dans les différents tissus. Mais il y a aussi les cellules souches mésenchymateuses présentes en abondance dans les niches vasculaires du tissus graisseux profond. Donc facilement accessibles.
Dans ce cas, nous travaillons sur la matière même. Mais il se peut que l’élément « énergie » vienne à manquer.
La science évolue à grands pas et si les découvertes dans le monde de la physique ne cessent d’étonner, son application dans le monde médicale est un peu à la traîne.
Les études faites sur la lumière, que ce soit sur la molécule d’ADN ou son utilisation à des fins thérapeutiques se multiplient.
La lumière peut être utilisée comme énergie de modulation en utilisant le spectre vital. Elle peut dans ce cas apporter l’énergie manquante afin de restaurer un état d’harmonie et de cohérence , indispensable à la santé et la beauté.
La Biophotomodulation « LED»
La biophotomodulation LED s’inscrit dans le cadre des LLLT ( Low Level Laser Thérapies), c’est à dire des lumières agissant par la couleur ou la longueur d’onde mais sans chauffer les tissus puisqu’il s’agit de diodes LED. Il n’y a donc pas de brulûre thermique ni d’agression tissulaire. Le traitement correspond parfaitement à notre philosophie et s’inscrit dans la lignée des traitements capables de stimuler les processus d’auto-réparation ou d’auto-regénération. En effet, la biostimulation va oeuvrer dans le sens d’un accroissement, l’activation ou l’inhibition selon les cas des paramètres de ce qui favorise l’eutrophie. Ce qui tend vers la normalisation des zones agressées .
Les effets, en fonction de la couleur ou de la longueur d’onde, seule ou en combinaison permettent d’obtenir des effets antalgiques, anti-inflammatoires et reconstructeurs par le jeu d’interactions multiples.
En physique, on parle de résonance pour qu’il y ait réponse. En effet deux fréquences doivent être en concordance et cohérence de phase pour qu’il y ait interférence. La réponse dans ce cas sera amplifiée ou diminuée.
Pour être efficace, la lumière, sur le plan matière a besoin d’un récepteur. Un élément chromophore ou photo-acceptateur. Il y en a beaucoup dans les organismes vivants.
D’un point de vue bioénergétique, ce sont les électrons qui sont capables d’absorber des photons par résonance et de sauter sur un plan énergétique supérieure. Mais l’électron se retrouve en position instable et va retomber sur son orbite de base, libérant la même quantité d’énergie. Les oligoéléments agissent souvent comme cofacteurs de nombreuses réactions enzymatiques et semblent être au coeur de ces réactions de transfert d’énergie.
D’un point de vue biochimique, la cytochrome C oxydase et la porphyrine sont particulièrement sensible à la lumière.
La cytochrome C est une protéine soluble et est une composante essentiel de la chaîne respiratoire. C’est un ampholyte rédox capable de subir oxydation et réduction. Il transfère les électrons. Les porphyrines sont des molécules à structure cycliques impliquées dans le transport de l’oxygène et pouvant jouer le rôle de cofacteur lié de certaines enzymes.
En finalité, la lumière est capable de stimuler la production d’ATP au sein des mitochondries.
L’ATP ( adénosine triphosphate) est une molécule tellement essentielle à la vie . elle est un transporteur d’énergie située à l’intérieur des cellules biologiques vivantes et qui gère toutes les fonctions biologiques, telles que la nutrition, l’entretien et la reproduction. Sans celui-ci, il n’y aurait pas de vie.
Quand une cellule biologique transforme un aliment,l’énergie créée est stockée sous forme d’ATP. Cette molécule est ensuite utilisée pour réaliser différentes activités en cédant des groupes phosphates. Au cours de ces processus de cession, l’ATP est réduite en molécules plus petites et de moindre énergie. Ces molécules sont ensuite recyclées et rechargées en ATP par une nouvelle absorption d’aliments. ce processus est la voie métabolique centrale de la vie et s’applique à tout organisme vivant.
En conclusion, la technologie photonique développé par Swiss photon donne l’énergie aux enzymes des mitochondries ( principalement la cytochrome C oxydase et la porphyrine), ce qui a pour conséquence de relancer et doper le fonctionnement des mitochondries qui se remettent à fabriquer leurs 36 molécules d’ATP par molécule de glucose ce qui entraîne une optimalisation de la production d’ATP et aboutit à la réparation cellulaire et tissulaire. Ce qui fait de la lumière un traitement de choix en vue d’une optimalisation de la santé et de la beauté.
Parmis les nombreuses indications de ce traitement, citons:
A priori, tout ce qui peut entraîner douleur, inflammation et vieillissement des tissus est susceptible de répondre favorablement à la biophotomodulation. Actuellement de nombreuses études existent que ce soit à visée purement esthétique ou d’ordre dermatologique . Mais aussi des problèmes rhumatologiques en passant par des troubles neurologiques.
Pour revenir aux indications esthétiques, on observe des résultats prometteurs sur les vergetures de même que pour les problèmes de chute de cheveux. Il va de soi que les protocoles incluent bien souvent d’autres techniques car c’est dans la synergie des options thérapeutiques que l’on trouve les résultats les plus intéressants.