La bioélectronique de Vincent
« La physique biologique nous offre le moyen de voir l’invisible dans les tissus, d’analyser le remaniement perpétuel, les transmutations chimiques en chaîne, qui se font constamment en nous, micro-chimie qui donnera, sans doute des méga-résultats. »
Une question d’équilibre…
L’interdépendance entre les sciences est comparable à un lien qui les rattache de plus en plus étroitement les unes aux autres et c’est notamment le cas avec les mathématiques, la physique, la chimie et la biologie. Il est même possible d’affirmer la dépendance de tous les phénomènes et une certaine unicité dans les sciences de la nature.
Ainsi la matière vivante est elle-même liée par une infinité de liens invisibles avec la nature ambiante puisque tous les processus physico-chimique de l’environnement peuvent provoquer des modifications physiologiques de l’organisme vivant.
La biologie électronique est une science relativement récente qui permet de connaître, avec précision, certains facteurs caractéristiques d’un milieu vivant en relation avec les phénomènes de l’induction cosmique et par conséquent, d’apprécier l’influence de leurs variations sur les états d’équilibre ou de déséquilibre biologique.
La bioélectronique peut donc être définie comme la science des terrains biologiques. Elle permet de mesurer, à l’aide des trois facteurs physiques fondamentaux, les courants magnétiques de vie ou plus précisément, des micro-courants devenus mesurables grâce au développement de l’électronique. Ces paramètres, mesurés chacun sur le sang, la salive et l’urine sont le PH, le potentiel d’oxydo-réduction et la résistivité.
Ce n’est pas un hasard si la prestigieuse NASA utilise cette méthodologie dans le contrôle médical des astronautes lors des voyages spatiaux.