Vers une médecine convergente
Le remède contre les virus est dans une médecine convergente
Dès lors n’attendez pas un remède contre le covid-19, anticipez et faites tout pour améliorer votre santé.
On n’a rien sans rien mais c’est le seul garant fiable contre cette pandémie.
Aujourd’hui c’est le covid-19, demain un autre virus …
Maintenant la prise en charge diffère totalement de ce que la médecine propose depuis des années.
Il s’agit d’une médecine convergente à celle existante.
Complémentaire à ce que nous connaissons déjà mais essentielle si nous voulons éviter de tomber dans une pathologie chronique à l’âge de 60 ans et donc perdre un peu plus de son autonomie. Ici, il faut être proactif. Cela ne peut être corrigé par un médicament.
Nous devons réinstaller un équilibre et recréer ce lien que nous avons perdu avec la nature.
L’aliment représente probablement avec l’air et l’eau que nous respirons et buvons, le contact le plus intime avec l’environnement puisqu’il touche nos muqueuses. Raison de plus pour en prendre soin. Mais cela passe par une prise de conscience, et nécessite une conversion de 180°. Ce qui n’est pas si simple car il ne suffit pas de changer son alimentation, mais aussi ses pensées et croyances. Or changer ses habitudes quotidiennes n’est pas une mince affaire. Mais notre santé et la sauvegarde de notre homéostasie (système de régulation) est à ce prix.
Système immunitaire hyper sollicité
Face au coronavirus nous ne sommes manifestement pas tous égaux, en effet il peut se montrer particulièrement virulent ou au contraire passer son chemin comme si de rien n’était. L’âge n’a aucune importance, vu que les déséquilibres observés lors des examens de dépistage faits au cabinet touchent tous les âges. Les problèmes cités plus haut apparaissent de plus en plus vite.
La conséquence de cette inflammation de bas grade, c’est que notre système immunitaire est continuellement sur le qui-vive. On note d’ailleurs chez ces mêmes patients une situation de virose. Je ne teste bien sûre pas tous les virus, mais ce que je constate, c’est que les virus de la famille de l’herpès ont tendance à se remanifester. EBV*, CMV** et Herpes …
*Le virus d’Epstein-Barr (EBV) est l’agent en cause de la mononucléose infectieuse
**Le cytomégalovirus (CMV), un très discret virus de la famille des herpès qui toucherait à leur insu plus de la moitié des adultes de la planète
Atteinte du Système Nerveux Autonome
Si des anciennes infections ont tendance à se réexprimer il ne faut pas chercher plus loin la cause de la vulnérabilité au covid-19.
IL est probable que de nombreux cancers, syndromes métaboliques ou neurodégénératifs soient favorisés ou même directement induits par des virus. En conséquence, les virus capables d’induire des mutations ou une atteinte du SNA (Système Nerveux Autonome) représentent probablement la première cause de mortalité actuellement déplorées. Le SNA représente notre commande automatique faisant le lien entre le cerveau et l’ensemble des organes et viscères, il est essentiel au maintien de notre homéostasie.
Diminution de l’immunité à cause de certain virus à l’état latent
Certains virus persistants à l’état latent (famille herpès) diminuent l’immunité, abrasent les muqueuses digestives, s’intègrent dans les génomes en créant des mutations et accélèrent le vieillissement, en particulier du SNA. Il n’existe pas de vaccins efficaces contre l’herpès de type 1 ou 2, le CMV, EBV, l’hépatite C, les adénovirus, etc…. Par ailleurs certains vaccins ont un taux d’efficacité modeste de l’ordre de 50%. Notons qu’en outre beaucoup de gens éradiquent spontanément certains agents infectieux ou bien n’expriment pas les virus et ne peuvent donc pas contaminer leur entourage.
De telles variations reposent sur le microbiote et sur l’épigénétique mais aussi le complexe majeur d’histocompatibilité.
Le « complexe d’histocompatibilité Majeur » est un segment chromosomique portant un ensemble de gènes fonctionnellement et topographiquement liés, intervenant dans divers mécanismes fondamentaux en immunologie. Il existe une association entre HLA les antigènes des leucocytes humains (en abrégé, HLA, de l’anglais human leukocyte antigen) et maladies ou susceptibilité à développer des complications suite à des infections virales. Nous ne sommes pas tous égaux dans la manière dont nous répondons à l’agression des microbes. Il existe une susceptibilité individuelle qui fait intervenir des facteurs génétiques et épigénétiques. Dans certains cas ce ne sont pas les réponses immunitaires qui sont en cause, mais bien des ripostes inappropriées responsables d’une inflammation chronique incontrôlée qui détruit le poumon.
Retrouvons une hygiène de vie saine et responsable
Il est clair que les microbes ne peuvent se développer que sur un terrain bio-électriquement favorable. Lorsque les paramètres de santé se rétablissent, l’activité microbienne cesse. C’est aussi la dégradation du terrain qui génère l’activité microbienne dans les différentes phases du processus de la maladie et non l’inverse.
Je me répète, tout individu est en interaction avec son environnement, il faut en tenir compte afin d’éviter que d’importants paramètres n’échappent à l’observation. Plus les habitudes de vie (hygiène alimentaire, activité physique, hygiène physique et psychique, communication de qualité, niveau de stress, oxygénation…) sont favorables, plus interviendra la guérison.
Trop de médecins ne sont pas suffisamment conscients de l’incontournable influence du psychique tant sur la genèse que sur la guérison des maladies. Le stress oxydant est un générateur de maladie, tout comme l’inflammation chronique de bas grade. Les épidémies ne frappent que des gens fragilisés et s’arrêtent spontanément sans la moindre intervention.
La peur véhiculée par la presse ne peut que fragiliser les personnes plus sensibles.