Contre la chute des cheveux
Aujourd’hui, notre cabinet médical propose une solution efficace contre la chute des cheveux. Il s’agit des techniques proposées en médecine régénérative qui permettent de ralentir la chute des cheveux et d’améliorer la densité et la qualité du cheveu.
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Les différentes phases de croissance du cheveu
L’alopécie ou la chute de cheveux peut avoir plusieurs causes. Le cheveu passe par un cycle de croissance. Chaque cycle possède sa phase de croissance anagène (longue), une brève phase transitoire apoptique (catagène) et une courte phase de repos (telogène). A la fin de la phase de repos, le cheveux tombe (exogène) et un nouveau cheveux apparait dans le follicule, pour entamer un nouveau cycle. Chaque jour, nous perdons plus ou moins 100 cheveux, si la chute est plus importante il y a lieu de consulter d’autant plus que des options thérapeutiques existent.
Quelles sont les causes de la perte de cheveux
Elles sont nombreuses et variées. Cela va de l’hypothyroÏdisme, les maladies auto-immunes, le S. de Down, les traitements à la cortisone, ou encore l’alopécie androgénique (qui se rencontre aussi chez la femme) à la chimiothérapie, les maladies endocrines, des suites d’une infection, ou alors la conséquence de déficiences nutritionnelles (Zn, vitA, D, biotine et bépanthène, etc…)
Raison pour laquelle, un bilan s’avère nécessaire avant toute prise de décision quant au traitement qui sera proposé.
Quelles sont les solutions thérapeutiques ?
– Le minoxidil 2% peut s’avérer positif dans 40% des cas mais nécessite une application quotidienne sans quoi la chute réapparait.
– Le finastéride(propecia), qui est un inhibiteur de la 5 alpha réductase qui transforme la testosterone en 5 dihydrotestosterone. Il faut suivre le traitement pendant 3 à 6 mois, il est conseillé de continuer à le prendre. Parmi les effets secondaires: la gynecomastie, la diminution de la libido, des troubles érectiles et d’éjaculation (souvent temporaire et de toute façon réversible). Il peut affecter la mesure de PSA (diminution). Et enfin,à cause de son effet tératogène, il est déconseillé chez les femmes en âge de procréation.
– La spironolactone, utilisée pour le traitement de l’alopécie androgénique chez la femme. C’est un inhibiteur compétitif de l’aldostérone, qui lutte avec le dihydrotestostérone pour un récepteur androgénique sur le tissus cible. Il
diminue aussi la 17 alpha- hydroxylase et diminue par cet effet les taux de testostérone et d’androstènedione.
Dans l’alopécie androgènique on peut aussi recourir aux implants ou à la chirurgie de réduction de tonsure .
Une solution innovante à base de cellules souches autologues
Aujourd’hui on peut proposer une injection de la fraction VS (vasculo-stromale) du tissu adipeux associé aux facteurs de croissance d’origine plaquettaire complétée par de la luminothérapie afin de stimuler le métabolisme redox des mitochondries. En générale on rajoute 3 à 4 séances de facteurs de croissance purs d’origine plaquettaire.
Cette technique permet d’améliorer la survie des follicules pileux.
On utilise le PRP (plasma riche en plaquettes) depuis de nombreuses années à la fois en médecine esthétique mais aussi en traumatologie, dermatologie, maxillofaciale, médecine sportive voir d’autres disciplines médicales.
Le PRP est aussi utilisé contre la chute des cheveux car il améliore la survie des follicules pileux. Il stimule la croissance des cheveux en provoquant la transformation des cellules souches en follicule pileux, de même qu’en prolongeant la phase anagène du cheveu tout comme il stimule la néovascularisation.
Les techniques de médecine régénérative contre la chute des cheveux
En effet, la clinique nous montre un ralentissement de la chute de même qu’une amélioration de la densité et qualité du cheveu et même une repousse qui peut être importante dans certains cas. Le protocole est comparable à celui décrit sous la rubrique «médecine régénérative», si ce n’est que l’injection se déroule localement selon la technique de mésothérapie.
Le déroulement de l’intervention
On procède à une première injection de cellules de la fraction VS (vasculo-stromale) et FC d’origine plaquettaires suivi de deux séances à deux semaines d’intervalle d’injection de facteurs de croissance d’origine plaquettaire. Lors de chaque intervention, on utilise la luminothérapie afin de favoriser la production d’ATP par les mitochondries.